La télématique à la rescousse

« Éviter les survitesses, c’est au départ une question d’image de marque : je ne supporte pas d’être poussé par une camionnette sur l’autoroute, encore moins lorsqu’elle porte le logo de Saert ! En outre, cela augmente la consommation, le risque d’accident, et l’on n’arrive pas plus vite. Une formation des salariés au risque routier est organisée tous les deux ou trois ans avec notre assureur », justifie Éric Buchmann (voir le témoignage page 46).

Dans cette démarche, Saert n’est d’ailleurs pas seule : GSI a équipé tous ses véhicules de boîtiers de géolocalisation ajoutés en seconde monte avec un prestataire externe. Seuls les quatre Experts en LLD qui viennent de rejoindre le parc en sont pour l’instant dépourvus. « L’objectif était d’améliorer la gestion des plannings et donc la réactivité des techniciens, notamment en cas d’urgence de sécurité incendie », indique Jérémy Hélouard pour ce spécialiste de l’installation et de la maintenance en sécurité incendie (voir le témoignage page 42).

Pour sa part, Videoconsult envisage de déployer une solution de géolocalisation et va certainement y venir dans quelques années afin d’optimiser les coûts et le planning. « Aujourd’hui, je m’intéresse en particulier aux solutions de télématique embarquée sans géolocalisation pour limiter les coûts d’entretien. C’est un premier pas qui peut ensuite faciliter l’arrivée de la géolocalisation », affirme de son côté Iris Matus, en charge des 43 véhicules du parc automobile de ce spécialiste du déploiement de caméras de surveillance (voir le témoignage page 48).

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