Prendre soin des conducteurs

Le collaborateur est aussi le conducteur de son propre véhicule avec lequel il peut réaliser des économies en adoptant les règles de l’éco-conduite. « Ce collaborateur formé à l’éco-conduite est alors un très bon ambassadeur de cette pratique auprès de ses proches », assure Patrick Clemens pour ECF.

Une question à se poser dans le cadre d’une démarche d’éco-conduite : comment le conducteur situe-t-il la qualité de sa conduite par rapport aux autres ? Le stagiaire doit savoir quel conducteur il est et quel conducteur il doit devenir. ECF travaille précisément sur la différence entre les deux.

Des facteurs exogènes en jeu

Des facteurs exogènes jouent aussi sur les comportements. Si le collaborateur est stressé par les objectifs assignés, la sinistralité et les consommations partent à la hausse. C’est pourquoi l’implication du management doit être totale pour obtenir des résultats tangibles et durables. « Et si l’entreprise intervient de manière corrective auprès du collaborateur en mettant en relief ses erreurs, ce dernier perçoit négativement cette intervention et, démotivé, se détourne de l’éco-conduite », déplore Patrick Clemens.

Avec l’éco-conduite, Patrick Clemens conseille aussi de ne pas avoir un degré d’exigence trop élevé : « Si l’objectif n’est pas réaliste, le conducteur se décourage et abandonne. » Pour obtenir de bons résultats, l’entreprise doit donc s’approprier le plan de prévention et d’éco-conduite.

Cet article Prendre soin des conducteurs est apparu en premier sur Flottes Automobiles.

from Flottes Automobiles http://ift.tt/2HO1fO3