Suzuki Swift : la future citadine renonce au diesel
La quatrième génération de la Swift sera lancée à Genève et privilégiera l’hybridation légère SHVS des récentes Ignis et Baleno.
Née en 2010, la précédente génération de la citadine de Suzuki avait surfé sur un style très renouvelé et adoptait un toit bi-ton du meilleur effet. Pour son dernier opus, le constructeur a planché sur un design qui évolue en douceur tant pour son dessin toujours mignon et évocateur, quoique plus acéré, que pour ses proportions : cette Swift 2017 affiche le même encombrement qu’auparavant, soit 3,84 m de longueur pour 1,70 m de largeur et un empattement porté à 2,45 m, soit 2 cm de plus.
Une hybride sinon rien
Pourtant, cette Swift est développée sur la récente plate-forme des Ignis et Baleno, essayées ici-même, ce qui implique aussi le renoncement au moteur diesel au profit du pétillant et sobre 1.2 l essence de 91 ch et 118 Nm avec son hybridation légère SHVS qui limite (pour le Japon) les émissions de CO2 à 85 g avec une nouvelle boîte CVT et non plus robotisée. Des émissions qui passent à 97 g sans l’hybridation légère qui consiste, rappelons-le, en un simple alterno-démarreur renforcé. Celui-ci fournit, en phase d’accélération, un couple supplémentaire de 50 Nm et 2,3 kW/3 ch de puissance jusqu’à 3 900 tr/min ou 125 km/h.
On notera aussi que, d’emblée, la Swift s’équipe du pack de sécurité qui sera rendu obligatoire en Europe rapidement avec le contrôle de franchissement de ligne, le freinage d’urgence en ville et le régulateur de vitesse adaptatif. Tous trois de série dans la Swift commercialisée dès le 4 janvier au Japon. Pour l’Europe, le modèle sera fabriqué dans l’usine hongroise de Suzuki pour un lancement au salon de Genève début mars.
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